l’intensité des scènes et, comme toujours, les chevaux nous ravissent et les poneys nous font sourire… Cette fois-ci ils évoluent dans un halo de lumières particulièrement soignées, qui mettent en valeur le travail de dressage de Sophie Bienaimé et des écuyères du musée : Cristina, Elodie, Nathalie, Morgane, Mathilde et Caroline. Elles sont relayées par Pierre Fleury qui présente la danse de ses Highlands en liberté et par Soizic l’acrobate qui se balance comme une feuille légère au plafond…
Et puis à Chantilly comme nulle part ailleurs, le décor est fantastique, on ne se lasse pas de l’immensité des lieux, des façades en pierre, de la longue progression entre les stalles où l’odeur de paille et de crins nous met dans l’ambiance, des pavés qui résonnent dans la cour, du cerf en majesté dominant la fontaine, de la hauteur vertigineuse du dôme …
Un moment merveilleux que les petits adorent, comme les cavaliers et les amateurs d’art.
A côté, le musée du cheval est une œuvre rare dans une incroyable architecture … N’hésitez pas. Parcourir les salles d’exposition est une autre occasion d’apprendre mille et une choses sur les équidés et de s’émerveiller sur les chefs d’œuvre qu’ils ont inspirés.
Pour La belle et la bête, rendez-vous chaque après-midi, du 28 novembre au 3 janvier, dans les grandes écuries de Chantilly.
Pensez à réserver sur :
www.domainedechantilly.com